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« Plus qu’une simple expression gestuelle, la calligraphie est pour les Asiatiques un mode d’expression personnelle. C’est l’état d’esprit, la vitalité, le tempérament qui se manifestent dans l’exécution et que celui qui regarde appréciera. »
Chorégraphie du pinceau de Huai Su – Variation n0 19, 2007,
encre sur papier Xuan, 50 x 50 cm, marouflé sur rouleau vertical de soie 106 x 56 cm
« En Chine, on dit que la calligraphie est une peinture sans image, une musique sans le son, une danse sans acteur. Et un peu comme le danseur ou le musicien exécute ou joue une composition, l’interprétation des anciens calligraphes permet de retrouver cette danse de leur pinceau. La posture, l’état d’esprit et la concentration avec lesquels l’exécution est abordée, la maîtrise de l’attaque d’un trait, la nuance de son tracé entre son début et sa finale, la prévision de son enchaînement avec le tracé du prochain caractère, l’énergie que l’artiste exprime, la vitesse du geste, tout concourt à donner à la composition son originalité. »
Sur le tard, je n’aime que la quiétude, loin de moi la vanité des choses – Variation n0 4, 2006,
encre sur papier Xuan, 69 x 34 cm, composition en écriture courante, d’après un extrait original d’un poème de Wang Wei (701-761)
C’est en voulant renouer avec la peinture que Françoise Cloutier a commencé à étudier la calligraphie chinoise en 1998 à l’École d’art de Madame Ngan Siu-Mui auprès de laquelle elle a appris les différents styles d’écriture chinoise. À la fin des années 1990 et les années suivantes, elle a participé à plusieurs des expositions annuelles de la Société pour la culture chinoise traditionnelle de Montréal et, en 2003, elle a été invitée à présenter une calligraphie à l’exposition annuelle des oeuvres collectionnées par l’Institut culturel de recherche sur l’art à Séoul en Corée.
Son apprentissage de la calligraphie s’est fait de manière traditionnelle, c’est-à-dire auprès d’un maître auprès de qui elle s’est initiée aux différents styles de calligraphie chinoise : la sigillaire, la chancellerie, la régulière, la courante et la cursive. Françoise Cloutier a par la suite commencé à étudier et interpréter les grands maîtres anciens, une longue démarche tant la matière est abondante.
Depuis, elle se consacre à l’étude et à la pratique de la calligraphie chinoise dans son studio de Ogden, dans les Cantons-de-l’Est.
En 2007, un séjour de plus de quatre mois en Chine, à Xi’an, lui a permis d’approfondir l’observation et l’étude du style de très anciens calligraphes. Invitée à participer à une exposition de groupe de calligraphes et peintres chinois, c’est au Centre culturel Yvonne L. Bombardier que nous vous invitons à découvrir cet art ancestral.
Vous pouvez également consultez le site de l’artiste http://www.francoisecloutier.com
La Fondation J. Armand Bombardier est fière de présenter les oeuvres de Claude Le Sauteur, artiste incontournable de l’art actuel québécois. Ses tableaux grands formats mettant en scène des personnages démesurés aux couleurs saisissantes animent le Centre culturel Yvonne L. Bombardier pour le plus grand plaisir des visiteurs.
L’émerveillement devant les paysages et la passion des légendes de ce peintre charlevoisien s’entrecroisent dans cette exposition unique. La série L’Univers du rire, conçue en collaboration avec le Festival Juste pour rire, témoigne de la créativité et du sens de l’humour de Claude Le Sauteur. Des réalisations mémorables sont mises en valeur au centre d’exposition de Valcourt soit une véritable voiture Porsche 911S de 1975 peinte d’après une oeuvre de l’artiste ainsi qu’une sculpture inspirée d’un de ses tableaux.
Un peintre marquant, des oeuvres éblouissantes, une exposition inoubliable.
Le monde habité de Claude Le Sauteur est une exposition réalisée par le Musée de Charlevoix.
La Fondation J. Armand Bombardier célèbre cette année le centenaire de la naissance du plus célèbre fils de Valcourt (1907-1964). Pour souligner cet anniversaire symbolique, le Centre culturel Yvonne L. Bombardier est fier de présenter pour une première fois la plus grande collection des paysages d’hiver de la vallée de la rivière Saint-François qui ont fait la renommée de Frederick Simpson Coburn (1871-1960).
Né à Upper Melbourne, ce peintre a célébré dans ses toiles les activités rudes de la coupe et du halage des billes de bois et le plaisir des randonnées d’hiver dans son pays natal. L’exposition permettra aussi de rappeler le contexte dans lequel J.-Armand Bombardier a travaillé à améliorer les conditions de l’exploitation forestière et les déplacements hivernaux.
Le corpus de l’exposition, soigneusement sélectionné autour du thème du transport hivernal par la commissaire, Monique Nadeau- Saumier, comprend des oeuvres tirées des collections permanentes du Musée des beaux-arts de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec, du Musée des beaux-arts de Sherbrooke et de collections privées.
Pour le Centre culturel Yvonne L. Bombardier, il s’agit d’une exposition à caractère historique qui fera le lien avec le Musée Bombardier, témoin de l’histoire fabuleuse d’un inventeur de génie qui a fait la renommée de Valcourt dans le monde, et l’oeuvre peinte et dessinée de Frederick S. Coburn, un artiste qui a rendu célèbres dans tout le pays les mêmes paysages que Joseph-Armand Bombardier a fréquentés et aimés.
Il y a cent ans naissait Joseph-Armand Bombardier, inventeur de la motoneige Ski-Doo®. La Fondation qui porte son nom est fière d’accueillir un autre illustre centenaire, Hergé, le créateur de Tintin au Centre culturel Yvonne L. Bombardier du 16 janvier au 1er avril 2007. Sur des continents différents et loin des sentiers battus, tous deux ont rêvé pour nous et leurs créations ont embelli, à jamais, nos vies.
Tintin au pays de la motoneige regroupe de nombreux objets de collection, plus d’une quarantaine d’oeuvres inspirées des aventures du célèbre reporter à la houppe blonde, l’ensemble des bandes dessinées d’Hergé ainsi que plusieurs études sur le prolifique auteur.
Qu’on le veuille ou non, la bande dessinée occupe une place importante dans notre vie. À l’origine considérée comme un art mineur, la BD fut longtemps accusée de vouloir supplanter la littérature « traditionnelle ». Aujourd’hui, on reconnaît son apport original et on étudie même à travers elle l’histoire, le français et la géographie. Mais la bande dessinée est avant tout une forme d’expression autonome avec des règles et des conventions qui lui sont propres. Une des façons de comprendre ces règles et ces conventions, c’est d’étudier une « oeuvre » qui a su les exploiter à merveille quand elle ne les a pas elle-même inventées. Nous avons nommé TINTIN. Ses aventures sont un modèle de clarté et la richesse de leur contenu ne cesse de nous étonner. Tintin, c’est le XXe siècle avec ses colonies, ses conflits mondiaux, la crise du pétrole, l’homme sur la lune. C’est l’histoire avec les pharaons et les Incas. C’est la morale d’une époque qui se transforme à chaque album.
Tintin, c’est tout ça et plus encore. Mais c’est aussi et surtout un art dont Hergé, à force d’inventions, est passé maître : l’art de raconter une histoire.
Ce sont les oeuvres de l’artiste peintre et professeur d’arts plastique et d’art dramatique Francine Péloquin qui ornement les cimaises du Centre culturel Yvonne L. Bombardier dans une exposition intitulée ÉCHOgraphies. Par son travail, elle transpose les événements transitoires en en restituant le sens par un méticuleux et savant agencement de la matière. L’esthétique ainsi proposée repose essentiellement sur deux aspects : le motif et l’émotif. À travers une démarche singulière, l’exploration picturale de Francine Péloquin relève d’un travail de terrain et d’une inébranlable volonté d’atteindre la recherche plastique fondamentale sous des figures naturalistes.
Aujourd’hui encore, lorsque de soi-disant connaisseurs examinant une oeuvre d’art, dubitatifs, déclarent : « C’est décoratif… »,il y a là une forme de condescendance. Que recouvre en réalité la notion de décoratif? Au Québec, durant les années 1940-1960, on assiste aux premières prises de position en faveur ou en défaveur d’une approche dite décorative. Cette exposition propose une sélection de 60 oeuvres (peintures, sculptures, arts graphiques, céramiques et objets d’art « décoratif ») autour de quatre aspects reliés à la notion de décoratif en art et à son double pouvoir d’attraction et de répulsion. Le vernissage s’est tenu le dimanche 17 septembre à 14 h au Centre culturel Yvonne L. Bombardier sous la présidence d’honneur de Monsieur Paul Bourassa, commissaire de l’exposition et de Madame France Bissonnette, vice-présidente aux opérations de la Fondation J. Armand Bombardier.
Une sélection de sculptures des collections du Musée national des beaux-arts du Québec
Présences figuratives offre un regard sur la pratique de la sculpture au Québec des années 1940 à 1998. Trente oeuvres, d’autant d’artistes, sont regroupées dans cette exposition qui s’intéresse à la persistance des représentations figuratives en sculpture qu’elles soient humaines ou animales. On retrouve dans le parcours d’exposition trois regroupements distincts d’oeuvres.
Le premier, Entre figuration et abstraction, met l’accent sur la figuration qui a trouvé un renouvellement dans les courants de l’art moderne, mettant la forme en valeur et ne suivant pas les règles de l’académisme. Pour le deuxième thème, Entre présence et absence, la figure joue de la présence, parfois subtile, parfois forte ou carrément de son absence. Plusieurs pièces de ce thème témoignent de l’intérêt des artistes pour le travail patient de la matière, qu’il s’agisse de terre glaise, de bois de métal et autres matériaux. Le dernier regroupement de l’exposition, Sous des apparences ludiques, témoigne des dernières décennies du XXe siècle, alors que les genres se sont croisés et que les pratiques artistiques nouvelles se sont ouvertes.
Présences figuratives est organisée et mise en circulation par le Musée national des beaux-arts du Québec.
Commissaire : Patrick Rouillard
2 0 0 6 LIEUX sous le MEMPHRÉ vous plonge dans l’univers fascinant du sculpteur sherbrookois Shannon Cooney qui crée ses oeuvres à partir de bois saturé d’eau repêché dans les profondeurs du lac Memphrémagog, qu’il nomme drunkwood. Au total, 18 de ses pièces vous sont présentées dans cette exposition.
Sous les doigts de l’artiste, le bois submergé parfois depuis une centaine d’années reprend vie. Alliant une multitude de matériaux tels que les pierres Memphré, le verre, le bronze, le granit et l’os, Shannon Cooney livre au monde de l’art des oeuvres au caractère unique dont le cachet s’affine avec le temps.
Les parties de l’arbre utilisées sont majoritairement les racines et la souche. Chaque pièce requiert un temps de confection considérable. Une période minimale de deux ans de séchage est nécessaire. Afin d’obtenir un produit fini impeccable, les pièces sont sablées minutieusement pendant de nombreuses heures. Une huile naturelle est ensuite appliquée sur l’ensemble de la pièce qui présente un grain de qualité exceptionnel. La création finale et antique est une sculpture de grande valeur pour tout collectionneur qui recherche l’exclusivité et la beauté de l’art qui passe le temps.
Présentées au 1002 de l’avenue J.-A.-Bombardier à Valcourt, ces oeuvres ont aussi été exposées à la Grange Éléphant de Georgeville et au Molini South du Design Center of Americas en Floride.
Cette exposition est réalisée en collaboration avec la Fondation J. Armand Bombardier.
L’éditrice Lise Weil nous entretiendra sur l’héritage laissé par Mary Meigs, sa vision et son processus créatif se retrouvent à la base de cet important recueil.
Commissaire : Annie Boudin
Collaboration: Marie-Claire Blais
Sélection des oeuvres : Thérèse Saint-Gelais
La peintre et écrivaine Mary Meigs (1917-2002) est exposée au pays de son coeur.
Originaire de Philadelphie aux États-Unis, Mary Meigs a beaucoup voyagé au cours de sa vie : en France, en Italie, au Japon, en Australie, dans les Caraïbes. C’est toutefois au Québec, plus précisément chemin Sims à Kingsbury dans les Cantons-de-l’Est qu’elle a élu domicile en 1975. Elle avait enfin trouvé en cette région le pays de son coeur, le pays de ses recherches de peintre, un lieu où la lumière lui semblait magique et forte. Elle a attendu 60 ans avant de se mettre à l’écriture. Ses récits autobiographique sont éclatants de lucidité non seulement sur elle-même, sur ceux qui l’entourent, mais aussi sur son époque violente et vaine.
Commissaire : Monique Nadeau-Saumier
L’attrait des îles réunit des oeuvres de l’artiste peintre Denis Nadeau. Deux séries de tableaux sont proposées. La première série puise son inspiration dans le récit «Les Îles», tiré du recueil Cet été qui chantait de l’auteure Gabrielle Roy. Fidèles à la description de la romancière, ces visions de l’archipel ont présidé à la création de 21 tableaux de même format qui décrivent autant d’îles changeantes au gré des saisons. La seconde série comprend plusieurs oeuvres de grand format où, depuis les berges de l’Isle-aux-Grues, l’artiste observe les derniers vestiges de l’hiver que le printemps fera bientôt disparaître.
Raymonde April, Prix du Québec, prix Paul-Émile-Borduas 2003
Commissaire : Jean-Claude Rochefort
Raymonde April, bifurcations est constituée d’un corpus d’oeuvres inédites réalisées au cours de la dernière année par la photographe lauréate du prix Paul-Émile-Borduas 2003. On y retrouve de deux grandes catégories d’images. Il y a tout d’abord des images individuelles dans lesquelles les événements de la vie en famille côtoient de furtifs moments vécus entre proches amis. Un autre regroupement d’images photographiques présente une succession de variations sur le paysage : des vues de chemins en forêt, des façades boisées et des affleurements rocheux.
Commissaire : Marie-France Beaudoin
Co-commissaire : Ann-Janick Lépine
Artistes présentés : Josianne Bolduc, Nathalie Caron, Andrew Chartier, Pierre Chénier, Sigrid Fisher, Monique Girard, Normand Gladu, Chantal Lagacé, Catherine Longpré, Luc St-Jacques, Brigitte Roy, Ginette Saint-Amant, Tanya Saint-Pierre, Monique Trottier, Michel Veltkamp.
Zones de convergence fait place aux multiples recherches et explorations d’un groupe de 15 membres du Regroupement des artistes des Cantons de l’Est, l’un des plus vieux centres d’artistes au Québec et le seul voué exclusivement à la production et à la diffusion de l’art actuel dans les Cantons-de-l’Est. L’exposition se veut un regard sur la diversité des disciplines artistiques exploitées par ces artistes de chez nous dont les oeuvres convergent sur les thèmes de la science et de l’environnement.
Commissaire du volet Faire fi du design : objets d’arts populaire : Pascale Galipeau
De Charlevoix à Valcourt propose une rencontre artistique en deux volets. Dans un premier temps, elle présente une exposition réalisée par le Centre d’exposition de l’Université de Montréal en partenariat avec le Musée de Charlevoix où les visiteurs peuvent admirer des objets de la vie quotidienne présentés sous un angle différent, original et moderne. Le deuxième volet regroupe la collection complète des sérigraphies appartenant à la Fondation J. Armand Bombardier produites et vendues depuis 1984 par la Papeterie Saint-Gilles, un Économusée du papier établi à Saint-Joseph-de-la-Rive dans Charlevoix.
Jocelyne Alloucherie, Prix du Québec, prix Paul-Émile-Borduas 2002
Commissaire : Sylvain Campeau
Publication : Glissements. Jocelyne Alloucherie. Auteur : Sylvain Campeau. 97 pages.
Monuments du funambule regroupe une vingtaine d’oeuvres inédites produites par cette artiste multidisciplinaire dans le cadre de sa résidence au Studio du Québec à New York. Convoquant des éléments qui appartiennent à la sculpture et à la photographie, les oeuvres de Jocelyne Alloucherie mettent en scène des masses monumentales, des cadres surdimensionnés montrant des découpes d’éléments végétaux, d’ombres tombées sur le sol et d’éléments architecturaux.
Commissaire volet arts visuels : Monique Nadeau-Saumier
Commissaire volet littérature : Annie Boudin
Artistes présentées : Catherine Young Bates, Marie-Claire Blais, Sara Peck Colby, Angèle Delaunois, Clémence DesRochers, Louissette Gauthier-Mitchell, Caroline George, Mary Martha Guy, Marie Cuerrier-Hébert, Marie Laberge, Christiane Lahaie, Thérèse Lecomte, Jovette Marchessault, Louise Portal, Hélène Richard, Louise Simard.
Perspectives estriennes met en valeur l’importante contribution des femmes estriennes dans le domaine des arts et de la littérature. L’exposition rend hommage à l’apport particulier de 16 artistes : huit dans le domaine des arts visuels et huit en littérature. Au total, une cinquantaine d’oeuvres peintes, une trentaine de publications et un documentaire audiovisuel présentant les oeuvres littéraires sont regroupés.
Les prix Paul-Émile-Borduas de 1977 à 2001 en dessin
Commissaire : Gilles Daigneault
Publication : Contrepoints. Du côté des prix Paul-Émile-Borduas, le dessin. Auteur : Gilles Daigneault. 125 pages.
Contrepoints réunit des oeuvres des vingt-cinq premiers lauréats du prix Paul-Émile-Borduas sélectionnées par le critique d’art Gilles Daigneault qui a choisi un médium commun : le dessin. Dans un environnement pensé sur mesure, on peut admirer un ensemble d’oeuvres réalisées par des artistes émérites, de Léon Bellefleur, premier à recevoir le prix en 1977, à Roland Poulin, lauréat en 2001, en passant par Jean-Paul Riopelle, Marcelle Ferron, Betty Goodwin, Michel Goulet, Michel Dallaire et Armand Vaillancourt, pour ne nommer que ceux-là.
Victor-Lévy Beaulieu
Prix du Québec, prix Athanase-David 2001
Commissaire : Michel Garneau
CD : Pour saluer la démesure. Création : Michel Garneau. Musique : Michel G. Côté.
Pour saluer la démesure. Hommage à Victor-Lévy Beaulieu est un projet d’envergure où se fusionnent et s’amalgament littérature, arts visuels, musique et vidéo. Le commissaire met ainsi en perspective le travail d’un écrivain prolifique : essais, feuilletons, multiples conférences, articles, radios-théâtres, scénarios d’émissions de radio ou de télévision, et bien entendu téléromans (Les As, Race du monde, L’Héritage, Montréal PQ, Bouscotte). Beaulieu n’a de cesse, en effet, que de faire dire aux mots leurs quatre vérités.
Commissaire : Olivier Asselin
Publication : Dédales : parcours de l’oeuvre de Roland Poulin. Auteur : Olivier Asselin. 135 pages.
Dédales. Les reliefs de Roland Poulin nous permet de découvrir un volet discret mais essentiel de l’oeuvre de Poulin, soit les reliefs, qui présentent le mérite de condenser le travail de Poulin tout en le déplaçant constamment. Placée sous le signe du labyrinthe, l’exposition souligne la modernité du travail de Roland Poulin qui place la complexité au coeur de sa réflexion et lui donne une dimension allégorique, quasiment mythologie.
Commissaire : Françoise Le Gris
Publication : Techniques et imaginaire. Auteure : Françoise Le Gris. 47 pages
Techniques et Imaginaire réunit les oeuvres de Monique Voyer, peintre estampeuse de Magog, membre de l’Académie royale des arts du Canada, et celles de Marie-Christine Mathieu, artiste invitée de renommée internationale utilisant les nouvelles technologies (holographie, art électronique et art médiatique). Deux artistes de générations différentes dont les oeuvres se conjuguent et se complètent pertinemment.
Présidente d’honneur : Monique Nadeau-Saumier
Oeuvres d’ici et d’aujourd’hui célèbre les 10 ans de Creatio, un centre d’artistes regroupant plus d’une soixantaine de créateurs et de créatrices en arts visuels dans les Cantons-de-l’Est. Cette exposition présente les oeuvres récentes de 54 de ses membres, tous issus d’univers artistiques très variés mais qui ont en commun un intense souci de qualité, de liberté et de professionnalisme.
Vittorio Venise Valcourt met en valeur l’ensemble de l’oeuvre de cet artiste pluridisciplinaire et témoigne de son remarquable parcours humain et artistique. C’est l’artiste montréalais, dont le caractère universel et impérissable des oeuvres en fait un personnage mythique, qui a assuré la conception de l’exposition et choisi le titre. Un titre évocateur puisque l’exposition de Vittorio proposée à Valcourt survient cinquante ans après son départ de Venise.
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